Ετικέτες

Δευτέρα 31 Οκτωβρίου 2011

28 octobre, Fête Nationale Grecque



ΠΑΡΑΣΚΕΥΉ, 28 ΟΚΤΩΒΡΊΟΥ 2011

28 octobre, Fête Nationale Grecque

La Grèce a remporté la 1ère victoire de la Deuxième Guerre Mondiale : “Nous n’avons pas seulement gagné pour nous mais pour le monde entier”.
 Avec notre victoire, nous avons encouragé toute l’Europe.
Tous les peuples ont leurs périodes. Il en est de même de notre Grèce. Elle a connu de brillantes périodes dont le 28 octobre 1940 est l’émanation.
Ce jour-là, le peuple grec, comme un seul homme, dit “OXI”, ce “NON” unique, au redoutable ennemi. Ce “NON” glorifie la Grèce et décide des destins du monde. Sans ce “NON”, l’humanité aurait été plongée dans la nuit du totalitarisme.
C’est pourquoi, le 28 octobre est un grand jour. Ce n’est pas seulement pour la Grèce mais pour le monde entier.
Vaincus la violence, l’obscurantisme et le matérialisme. La fête de ce jour a pour but de vous montrer le chemin de la victoire et du triomphe. Ce chemin n’est autre que celui de la lutte “pour la défense de la foi et de la patrie”. Sans un tel chemin, notre vie n’aurait aucun sens. La terre deviendrait une jungle. Voici pourquoi nous fêtons le 28 octobre.
Le 28 octobre 1940, la Grèce entre en guerre. Personne ne s’attendait à ce qu’un petit pays comme la Grèce joue un rôle aussi important durant la deuxième guerre mondiale. Les projets d’Hitler étaient d’envahir l’Europe pour atteindre la Russie.
En mars 1939, l’armée allemande entre en Tchécoslovaquie et en septembre de la même année en Pologne. En avril 1939, les Italiens pénètrent en Albanie ; en mars 1940, les Allemands envahissent la Finlande et en avril le Danemark puis la Norvège.
En mai 1940, l’armée allemande entre en Belgique, en Hollande et au Luxembourg sans rencontrer aucune résistance. Après un mois de combats, la France vers laquelle toute l’Europe libre se tourne avec espoir capitule et les Allemands rentrent dans Paris le 16 juin 1940.
Le 15 août 1940, jour de la fête de la Vierge, un sous-marin italien coule un navire de guerre grec “l’ELI” au large de Tinos. Dans la nuit du 27 au 28 octobre, Mussolini demande au Premier ministre grec Metaxas de laisser pénétrer l’armée italienne en Grèce. Le 28 octobre au matin, toute la Grèce répondit “OXI” “NON” ! Mais sans attendre la réponse des Grecs, l’armée de Mussolini pénétrait à 6 heures du matin en Grèce.
Les Grecs, nobles et fiers, l’ont repoussée et l’ont poursuivie jusqu’à Koritsa au centre de l’Albanie. Le monde entier admirait les victoires de ce peuple sans moyen, sans armes mais avec des cœurs de héros. Churchill, voyant les Grecs combattre de la sorte dit «On ne dira désormais plus “que les Grecs combattent comme des héros mais que les héros combattent comme des Grecs”».
Le 28 octobre est un jour historique parce que le Premier Ministre grec, Métaxas, avec la voix de tout le peuple grec, a dit “OXI” (“NON”) à l’armée de Mussolini qui voulait envahir la Grèce.
 Alors, la Grèce entre en guerre et remporte la 1ère victoire de la deuxième guerre mondiale. Nous n’avons pas seulement gagné pour nous mais pour le monde entier. Avec notre victoire, nous avons encouragé l’Europe qui était vacillante et esclave. Nous avons donné aux Anglais le temps de s’installer au Moyen Orient pour que les Allemands ne contrôlent pas le pétrole.
Nous avons retardé pour un bon moment les Allemands et c’est pour cette raison qu’ils n’ont pu entrer dans Moscou avant l’hiver, saison terrible en Russie… Ainsi ils ont eu de nombreuses pertes.
La victoire des alliés pendant la deuxième guerre mondiale, on la doit en partie à la Grèce et au “NON” historique du 28 octobre 1940.
 Les provocations italiennes ont commencé le 15 août 1940 dans le port de Tinos : un sous-marin italien a coulé le bateau de guerre grec Elli.
Dans la nuit du 28 octobre, l’Ambassadeur d’Italie à Athènes s’est rendu chez le Premier Ministre grec Métaxas et lui a remis un télégramme qui disait : «Le gouvernement italien demande à la Grèce de laisser son armée entrer dans le pays». La réponse fut : “non”, “Oxi”.
Les opérations commencèrent avec les attaques italiennes sur les frontières gréco-albanaises.Déjà leur plan échoua à Ioannina et à Metsovo.
 Le 17 novembre, les troupes italiennes reculèrent. Le 21 novembre, ce fut la libération de Koritsa, le 29 novembre celle de Moschopoli et après, Aryirokastro et Delvino. A la fin de décembre, l’Epire du nord est libérée par l’armée grecque qui repousse les Italiens à 60 km au delà de la frontière gréco-albanaise.
 Après beaucoup de dégâts, l’armée de Mussolini attaque la Grèce à nouveau le 9 mars 1941, avec douze divisions, 400 canons, 400 avions et, le 26 mars, sous les yeux du dictateur italien, échoue. Ce fut là la défaite totale de l’Italie et le monde entier, stupéfait, admire le miracle grec et découvre que les ennemis peuvent être vaincus
 Rapidement, plus rapidement encore, fasciste ! Γρήγορα, γρηγορότερα φασίστα !
 L’attaque allemande
 La défaite des Italiens a changé le plan d’Hitler. Le 6 avril 1941, l’Ambassadeur allemand à Athènes a annoncé au Premier Ministre grec, Alexandros Korisis ( Métaxas est décédé le 29 janvier), la guerre entre la Grèce et l’Allemagne.
Les Allemands ont attaqué la Grèce avec le général Rubel. Le 8 avril, ils ont envahi Thessalonique après avoir traversé la Yougoslavie.
Le 22 avril, les Allemands ont attaqué à nouveau avec les armes lourdes et le 27 avril, l’armée allemande pénètre dans Athènes. Le Premier ministre Korisis n’a pas supporté ces événements et a mis fin à ses jours, le 18 avril 1941.
L’hiver 1941-1942 fut très rigoureux. La famine s’est déclarée : il y eut de très nombreux morts. Les emprisonnements et les exécutions des Grecs ont commencé en juin 1941. C’est à la suite de cette situation qu’est née la résistance nationale que les historiens de la 2ème guerre mondiale ont estimé être la plus importante d’Europe
Occupation et résistance
Le 30 mai 1941, alors que se déroulait encore la bataille de Crète, deux étudiants grecs de 18 ans, Manolis Glézos et Apostolos Sandas descendirent le drapeau de guerre du IIIème Reich qui flottait sur l’Acropole. Ce geste a donné le courage à la Grèce et à toute l’Europe de développer la résistance nationale.
Une des plus importantes attaques armées des résistants grecs eut lieu le 25 novembre 1942 avec l’explosion du pont Gorgopotamos, ce qui empêcha, pendant plusieurs semaines, l’utilisation de la voie ferrée pour les Allemands, de Thessalonique à Athènes.
L’autre fait marquant de la période de l’occupation fut la manifestation à Athènes des étudiants le 25 mars 1942, et aussi les obsèques du poète Kosti Palama, le 28 février 1943 qui devint une manifestation panhellénique.
Après quatre ans d’occupation, la Grèce fut libérée et, le 12 octobre 1944, le Premier Ministre du gouvernement grec après guerre, Georgios Papandréou hissa le drapeau grec sur l’Acropole

greece.gifΖΗΤΩ Η 28η ΟΚΤΩΒΡΙΟΥ 1940 « Παιδιά της Ελλάδος παιδιά »
C’est la Grèce qui a remporté la première victoire de la seconde guerre mondiale
Είναι η ελλάδα που έχει κερδίσει την πρώτη νίκη του δευτέρου παγκόσμιου πόλεμου.
«ΟΙ ΗΡΩΕΣ ΠΟΛΕΜΟΥΝ ΣΑΝ ΕΛΛΗΝΕΣ» «On ne dira désormais plus que les Grecs combattent comme des héros mais les “Héros” combattent comme des Grecs» Winston CHURCHILL
Ξέρετε πόσες ημέρες κράτησε η άμυνα των άλλων και πόσο των Ελλήνων ;
Savez-vous combien de jours ont résisté les autres pays et combien de jours a résisté la Grèce ?
 Grèce : 219 - Ελλάς :
219 Norvège : 61 - Νορβηγία :
61 France : 43 - Γαλλία :
43 Pologne : 30 - Πολωνία :
30 Belgique :18 - Βέλγιο :
 18 Hollande : 4 - Ολλανδία :
4 Yougoslavie : 3 - Γιουγκοσλαβία :
3 Danemark : 0 - Δανία:
0 Tchécoslovaquie : 0 -Τσεχοσλοβακία
0 Λουξεμβούργο 0 -Luxembourg :
0 Si les chiffres ont une signification, combien terrifiant nous apparaît le chiffre des pertes humaines durant la seconde guerre mondiale !
La France porte le deuil de 535 000 morts, les Etats-Unis de 400 000, et la Grèce, dont la population est de 8 millions d’habitants, à elle seule, compte 600 000 morts ! …
La participation de Chypre à la Deuxième Guerre Mondiale
Η Προσφορά της Κύπρου στον Β΄ Παγκόσμιο Πόλεμο
La petite île de Chypre est considérée comme le pays qui, sur le plan humain, a le plus participé à la Seconde Guerre Mondiale, proportionnellement à sa population.
Cela n’est pas connu dans l’histoire de l’Hellénisme parce que les pertes Chypriotes sont connues comme pertes britanniques car, pendant cette période, Chypre était sous domination anglaise.
Environ 30 000 Chypriotes étaient présents sur le front en Europe, au Moyen Orient et en Afrique du Nord. D’autre part, 5 000 Chypriotes se trouvaient en Grèce entre 1940 et 1944. Plus de 600 Chypriotes dont 100 en Grèce sont morts durant les combats et ont été enterrés dans 56 cimetières de 17 pays.
 Des milliers de Chypriotes ont été emprisonnés dans les camps de concentration allemands. Un livre de Nikos Mpatsikanis, intitulé “La participation de Chypre à la Seconde Guerre Mondiale”, relate toute l’histoire et nomme les Chypriotes ayant participé à cette guerre.
Η μικρή Κύπρος θεωρείται ως η χώρα που είχε, κατ’ αναλογία με τον πληθυσμό της τη μεγαλύτερη ανθρώπινη συμμετοχή στον Β’ Παγκόσμιο Πόλεμο
 Αυτό δεν είναι γνωστό στην ιστορία του Ελληνισμού γιατί οι Κύπριοι θεωρούνταν Βρετανικές απώλειες .
Την περίοδο αυτή η Κύπρος ήταν κάτω από την Αγγλική κυριαρχία Έλαβα περίπου 30.000 στρατευμένοι Κύπριοι στα μέτωπα του Β΄ Παγκοσμίου Πολέμου (σε Ευρώπη - Μέση Ανατολή - Β. Αφρική) στο πλευρό των κατακτητών τους Άγγλων, καθώς και ο ερχομός 5.000 - 6.000 στη Ελλάδα, όπου και πολέμησαν εναντίον Γερμανών - Ιταλών, δίπλα - δίπλα με τους Ελλαδίτες.
Πάνω από 600 Κύπριοι (100 στην Ελλάδα) έπεσαν στα πεδία των μαχών κι ευρίσκονται θαμμένοι σε… … 56 Κοιμητήρια 17 χωρών ανά τον Κόσμο, ενώ χιλιάδες αιχμαλωτίστηκαν και κρατήθηκαν σε διάφορα στρατόπεδα συγκέντρωσης.
 Η μικρή Κύπρος θεωρείται ως η χώρα με τη μεγαλύτερη προσφορά στον αγώνα κατά του Άξονα.
Για την προσφορά της Κύπρου στο Β΄ Παγκόσμιο Πόλεμο, με σημαντικό αρχειακό υλικό ευρίσκονται στο βιβλίο του συγγραφέα κ. Νίκου ΜΠΑΤΣΙΚΑΝΗ. 
Πρόκειται για μια ιστορική μελέτη, που κυκλοφόρησε, για μια “άγνωστη πτυχή του Ελληνισμού”, την “Προσφορά της Κύπρου στον Β’ Παγκόσμιο Πόλεμο”, όπως είναι και ο τίτλος της έκδοσης. (Εκδόσεις “Βεργίνα”)
Το βιβλίο τιμήθηκε με το Α’ βραβείο Διεθνούς Διαγωνισμού του Ελληνικού Πνευματικού Ομίλου Κυπρίων και επιχορηγήθηκε από το Υπουργείο Παιδείας και Πολιτισμού της Κυπριακής Δημοκρατίας.
Απόστρατος αξιωματικός της πολεμικής αεροπορίας, ο Νίκος Μπατσικανής, αναφέρεται με τεκμηριωμένα στοιχεία, στην παρουσία περίπου 30.000 στρατευμένων Κυπρίων στα μέτωπα του Β’ Παγκοσμίου Πολέμου (Ευρώπη, Μέση Ανατολή, Βόρεια Αφρική), μέσα από τις γραμμές των βρετανών κατακτητών τους.
 Επισημαίνει ακόμη την παρουσία πάνω από 5.000 Κυπρίων στην Ελλάδα, κατά τον πόλεμο του 1940-41 εναντίον των δυνάμεων του γερμανοιταλικού άξονα.
 Πάνω από 600 Κύπριοι (100 στην Ελλάδα) έπεσαν στα πεδία των μαχών και βρίσκονται σε 56 κοιμητήρια 17 χωρών ανά τον κόσμο, ενώ χιλιάδες αιχμαλωτίστηκαν (οι περισσότεροι στην χώρα μας) και κρατήθηκαν στα διάφορα γερμανικά στρατόπεδα συγκέντρωσης.
Στο βιβλίο υπάρχει πλήρης κατάλογος με όλα τα ονόματα των πεσόντων και των αιχμαλώτων
diaspora-grecque

Πηγή: Ελληνικό Φαινόμενο

Δεν υπάρχουν σχόλια:

Δημοσίευση σχολίου